Le chroniqueur automobile Philippe Laguë complète sa trilogie portant sur le légendaire duel Ford-Ferrari aux 24 Heures du Mans avec cette entrevue accordée à la Première chaîne de Radio-Canada (ICI Première), dans le cadre de l’émission Aujourd’hui l’histoire. La baladodiffusion consacrée au film Ford v Ferrari constitue le premier volet de cette trilogie; il a été suivi par le récit – écrit, cette fois – de la véritable histoire de ce duel historique.
Ford contre Ferrari : la vraie histoire
Ford v Ferrari (podcast 98)
Les passionné(e)s de course rêvent depuis longtemps d’un film relatant la plus grande rivalité de l’histoire du sport automobile : celle qui a opposé Ford à Ferrari aux 24 Heures du Mans entre 1964 et 1967. Leur souhait a enfin été exaucé avec la sortie de Ford v Ferrari, réalisé par James Mangold (Walk The Line, The Wolverine, Logan). Le chroniqueur automobile Philippe Laguë a pu le voir en avant-première, lors d’un visionnement de presse, et il n’a pas été déçu.
Le Grand Prix du Canada 2019 en photos
Côtoyer pendant quelques jours les Hamilton, Vettel, Ricciardo, Verstappen et autres stars de la Formule 1 est un privilège. Et depuis 1992, le chroniqueur automobile Philippe Laguë a eu ce privilège a plusieurs reprises. Sa plus grande satisfaction demeure toutefois de le partager, que ce soit par écrit, à la radio et à la télévision. Juste pour vous, voici quelques photos prises à la sauvette au cours de ce week-end. Et ne faites pas qu’une seule visite parce qu’il s’agit d’un work in progress : d’autres photos s’ajouteront tout au long de la fin de semaine.
Post-mortem Grand Prix de Montréal 2018 (billet 98,5 FM)
Si l’hommage au 40e anniversaire de la victoire de Gilles Villeneuve à Montréal a été une réussite, avec la victoire d’une Ferrari, la course, elle, ne laissera pas un souvenir impérissable… Pour un troisième Grand Prix d’affilée, la course a plutôt eu des allures de procession. Mais encore une fois, c’est le rendement du quadruple champion du monde Lewis Hamilton qui préoccupe le chroniqueur automobile Philippe Laguë. Ça, et l’horrible saison de l’écurie Williams.
Souvenirs de Gilles avec Joann et Jacques (entrevue radio 98,5 FM)
Dans une vie, il y a des moments qui ne s’effaceront jamais. Le chroniqueur automobile Philippe Laguë en a vécu un pendant la semaine du Grand Prix du Canada, en étant interviewé aux côtés de Joann et Jacques Villeneuve. Le chroniqueur du 98,5 Sports était un des invités de Mario Langlois pour la commémoration du 40e anniversaire de la victoire de Gilles Villeneuve à Montréal, aux côtés de l’épouse du regretté pilote et de son fils, vainqueur des 500 Milles d’Indianapolis en 1995 et champion du monde F1 en 1997.
Le Grand Prix du Canada 2018 en photos
Côtoyer pendant quelques jours les Hamilton, Vettel, Ricciardo, Verstappen et autres stars de la F1 est un privilège. Et depuis 1992, j’ai eu ce privilège à plusieurs reprises. Ma plus grande satisfaction demeure toutefois de le partager avec vous : par écrit, à la radio ou à la télévision. Juste pour vous, voici quelques photos prises à la sauvette au cours de ce week-end. Et ne faites pas qu’une seule visite parce qu’il s’agit d’un work in progress : d’autres photos s’ajouteront tout au long de la fin de semaine.
La F1, rentable pour Montréal? (entrevue télé RDI économie)
On ne peut parler de Formule 1 sans parler d’argent. Écuries de pointe avec des budgets faramineux, montants stratosphériques pour les droits de diffusion, salaires ronflants pour les pilotes… Mais qu’en est-il des fameuses retombées économiques du Grand Prix du Canada? Est-ce un mythe ou la réalité? Concrètement, que signifie, sur le plan économique, un événement aussi médiatisé? L’animateur de RDI économie, Gérald Fillion, a invité le chroniqueur automobile Philippe Laguë pour parler de l’argent de la F1.
GP du Canada : Récit d’une passion (4e partie)
Voici deux des questions qu’un chroniqueur automobile se fait poser le plus souvent : Pis, vas-tu au Grand Prix c’t’année? (Ou une variante : « as-tu hâte au Grand Prix? ») et Es-tu capable de m’avoir des billets? La réponse à ces deux questions est la même : non. Je n’ai aucun contact pour avoir des billets et quand un manufacturier m’invite, je refuse 9 fois sur 10, ne serait-ce que parce qu’il faut que je me lève très tôt, ce qui est contre ma religion.
GP du Canada : Récit d’une passion (3e partie)
Le 8 mai 1982, j’ai vécu le premier deuil de ma vie. Le choc a été tel que j’ai décroché de la F1 pendant dix ans. Jusqu’à ce jour, la mort demeurait un concept abstrait : mes quatre grands-parents étaient vivants et je n’avais jamais perdu un proche. Mon idole, celui dont les posters décoraient ma chambre avec ceux des rock stars de l’époque, venait de mourir. Et mon intérêt pour la F1 aussi.
GP du Canada : Récit d’une passion (2e partie)
Oh que oui, j’y étais, porté par l’enthousiasme et l’énergie de mes 14 ans. Pour la première fois, une course de F1 était disputée à Montréal, sur l’île Notre-Dame, là où avait eu lieu l’Exposition universelle, onze ans plus tôt. Le nouveau circuit se faufilait d’ailleurs parmi d’anciens pavillons d’Expo 67 qui n’avaient pas encore été démolis.
GP du Canada : Récit d’une passion
Le Grand Prix du Canada commémore cette année le 40e anniversaire de la victoire de Gilles Villeneuve à Montréal. Le chroniqueur automobile Philippe Laguë a assisté à cet événement historique, véritable pierre d’assise du sport automobile au Canada. En 1978, il avait 14 ans; depuis, il est devenu un habitué du Grand Prix, d’abord comme spectateur, puis comme journaliste. Au cours de ces 40 années, il a entretenu une relation amour-haine avec « notre » Grand Prix. Récit d’une passion en montagnes russes.
GP du Canada : Commémoration de la victoire de Gilles Villeneuve (entrevue radio 98,5)
Le Grand Prix du Canada aura une saveur spéciale cette année : les organisateurs de l’événement entendent souligner la première victoire en Formule 1 du regretté Gilles Villeneuve, à Montréal en 1978. Le chroniqueur automobile Philippe Laguë n’avait que 14 ans mais il était dans les gradins de l’île Notre-Dame, en cette froide journée d’octobre. En entrevue avec Jérémie Rainville, à l’émission Les amateurs de sport, il raconte cette journée inoubliable, tout en mettant en contexte l’ascension improbable de Gilles Villeneuve en F1.
Post-mortem Grand Prix de Monaco 2018 (billet 98,5 FM)
La vie est souvent injuste : parlez-en à Daniel Ricciardo, qui avait perdu une victoire quasi-assurée au Grand Prix de Monaco, il y a deux ans, à cause d’une bévue de son équipe. Il s’en est fallu de peu pour que l’histoire se répète cette année mais grâce à sa maestria et à son sang-froid, l’Australien a pu, cette fois, remporter le plus prestigieux des Grands Prix. Comme l’explique le chroniqueur automobile Philippe Laguë, cette victoire acquise de brillante façon place le pilote Red Bull dans une position avantageuse en vue de la prochaine saison.
Post-mortem Grand Prix d’Espagne 2018 (billet 98,5 FM)
La série des Grands Prix enlevants s’est arrêtée à trois : celui d’Espagne a été fidèle à la tradition, le circuit de Barcelone étant, depuis toujours, propice aux processions. Pour la première fois de la saison, ce sont les Mercedes qui ont mené le bal, mais c’est Romain Grosjean qui a le plus fait parler de lui et ce, pour les mauvaises raisons. Comme l’explique le chroniqueur automobile Philippe Laguë, le pilote de l’écurie Haas est en train de saboter sa carrière.
Post-mortem Grand Prix d’Azerbaïdjan 2018 (billet 98,5 FM)
Pour un troisième Grand Prix d’affilée, les rebondissements ont été nombreux et le vainqueur n’a pas été celui qu’on attendait. Et pour la deuxième année d’affilée, le circuit de Bakou a été le théâtre d’une course échevelée qui a de nouveau souri à Lance Stroll et à l’écurie Williams. Le chroniqueur automobile Philippe Laguë revient sur ce Grand Prix fou, fou, fou.
Post-mortem Grand Prix de Chine 2018 (billet 98,5 FM)
Avec une première ligne entièrement rouge sur la grille de départ, on attendait les Ferrari… mais ce fut plutôt Red Bull! Daniel Ricciardo s’est rappelé au bon souvenir de tous en remportant la troisième course de la saison de façon magistrale. Contrairement à son jeune et fougueux coéquipier, l’Australien a réussi les dépassements-clés sans accrocher personne, capitalisant ainsi sur une stratégie de course audacieuse de son écurie. Et Lance Stroll? Disons seulement que ce fut moins pire que lors des deux courses précédentes…
Post-mortem Grand Prix de Bahreïn 2018 (billet 98,5 FM)
Les Grands Prix se suivent mais ne se ressemblent pas : après avoir lutté contre le sommeil lors de l’épreuve inaugurale, en Australie, le chroniqueur automobile Philippe Laguë était sur le bout de son siège, dimanche, en regardant le Grand Prix de Bahreïn, deuxième manche du calendrier. Tout un contraste! Malheureusement pour le pilote montréalais Lance Stroll, l’écurie Williams a connu, elle, un autre week-end difficile et rien ne laisse présager que les choses iront en s’améliorant. Au contraire…
Post-mortem Grand Prix d’Australie 2018 (billet 98,5 FM)
Le sevrage du chroniqueur automobile Philippe Laguë a pris fin dimanche : après quatre longs mois d’inactivité, la saison de Formule 1 a démarré, comme le veut désormais la tradition, en Australie. Les Red Bull ont-elles été capables de s’interposer entre les Mercedes et les Ferrari? Véritable surprise des essais présaison, la jeune écurie Haas a-t-elle confirmé son potentiel? La nouvelle Williams a-t-elle ce qu’il faut pour permettre à Lance Stroll de progresser? Voyons ce que nous a appris l’épreuve inaugurale de la saison 2018.
Les virages de la F1
Anachronique, la Formule 1? En cette ère de rectitude politique, nappée de préoccupations environnementales grandissantes, la question se pose plus que jamais. Outre la pollution sonore et atmosphérique qu’elle engendre, celle qu’on appelle la discipline-reine du sport automobile était, jusqu’en janvier dernier, une oligarchie dirigée par un promoteur-dictateur octogénaire; celui-ci distribuait ses Grands Prix comme des bonbons à des monarques et autres autocrates qui dirigent d’une main de fer leur pays (Abou Dhabi, Azerbaïdjan, Bahreïn, Chine, Russie…) au détriment de l’Europe occidentale, berceau historique de la Formule 1.
50 ans du Grand Prix du Canada : les années 2000
Après avoir ravi ses fans en montant sur le podium à son premier Grand Prix au circuit qui porte désormais le nom de son père, Jacques Villeneuve connaît ensuite des fortunes diverses. Après la fin de la triste aventure BAR, il se retrouve sans volant, pour finalement revenir chez Sauber, qui deviendra brièvement l’écurie officielle de BMW.
Top 10 des pilotes des 24 Heures du Mans
Le Mans est une ville d’environ 150 000 habitants, située dans le département de la Sarthe, dans l’ouest de la France. Elle est aussi le centre de la planète automobile pendant trois jours en juin, généralement la 24e semaine de l’année - on est concept ou on ne l’est pas - et ce, depuis 1923. Officiellement, il n’existe pas de Triple couronne en sport automobile mais officieusement, l’épreuve des 24 Heures du Mans en fait partie, avec les 500 Milles d’Indianapolis et le Grand Prix de Monaco. À ce jour, le Britannique Graham Hill demeure le seul à avoir remporté les trois courses.
50 ans du Grand Prix du Canada : les années Jacques
En 1996, l’improbable se produit : Jacques Villeneuve, le fils de Gilles, accède à son tour à la Formule 1. Les Québécois, qui n’ont jamais délaissé la F1, reviennent cependant en plus grand nombre que jamais au circuit Gilles-Villeneuve pour encourager leur nouveau favori. Le chroniqueur automobile Philippe Laguë nous rappelle les temps fort de cette période.
Le Grand Prix du Canada 2017 en photos
Côtoyer pendant quelques jours les Hamilton, Vettel, Verstappen et autres stars de la F1 est un privilège. Au cours des 25 dernières années, j’ai eu cet immense privilège à plusieurs reprises. Ma plus grande satisfaction demeure toutefois de le partager avec vous : par écrit, à la radio ou à la télévision. Juste pour vous, voici quelques photos prises à la sauvette au cours de ce week-end. Enjoy!
50 ans du Grand Prix du Canada : le deuil… et la continuité
La saison 1982 est porteuse d’espoir pour Gilles Villeneuve : la Ferrari 126 C2 est une voiture bien née et le pilote québécois ne vise rien de moins que le titre. Le destin en décide autrement : Villeneuve trouve la mort pendant les qualifications du Grand Prix de Belgique, 5e épreuve de la saison. Le chroniqueur automobile Philippe Laguë raconte cette période qu’on pourrait appeler « l’entre-deux Villeneuve », de la mort de Gilles à l’arrivée de son fils Jacques.
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