Chroniqueur automobile
Le chroniqueur automobile Philippe Laguë a beaucoup, beaucoup aimé faire l’essai d’une Lincoln MKZ pendant une semaine. Est-ce la cinquantaine qui le frappe durement? Ou les Lincoln se sont-elles améliorées à ce point? La réponse se trouve, sans doute, quelque part entre les deux…
La Civic de Honda en est maintenant à sa dixième génération et demeure un modèle très populaire au Canada depuis son arrivée en 1973. Cette dernière mouture nous propose un véhicule au caractère sportif bien senti, qui s'étend au-delà des apparences. Sans faire de compromis sur les caractéristiques essentielles à la vie de tous les jours, cette Civic offre une expérience de conduite dynamique où le plaisir est au rendez-vous. Un retour aux sources, en somme.
À défaut de faire partie de la « Sainte-Trinité » (Ferrari – Lamborghini – Maserati), Alfa Romeo appartient, sans conteste, au Panthéon des constructeurs italiens. Comme les Trois mousquetaires qui, en réalité, étaient quatre… N’oublions pas que la marque milanaise a construit une partie de son riche palmarès sportif sous la direction d’un certain Enzo Ferrari. Avant qu’il ne créé à son tour sa propre marque, Alfa Romeo était, jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, LA marque de prestige italienne, celle qui fabriquait les voitures qui faisaient rêver. Depuis, la marque au trèfle à quatre feuilles s’est démocratisée mais pas au point d’y perdre son âme. Dans ce podcast, le chroniqueur automobile Philippe Laguë nous raconte les temps forts de la longue histoire d’Alfa Romeo.
Amoureux des Italiennes et « Alfiste » autoproclamé, le chroniqueur automobile Philippe Laguë n’avait jamais pu conduire d’Alfa Romeo, ses débuts dans le journalisme automobile coïncidant avec le retrait de la marque en Amérique du Nord. Il aura fallu attendre 26 longues années mais c’est maintenant chose faite : après de multiples délais, Alfa Romeo a fini par revenir sur notre continent. D’abord avec la 4C, une sportive biplace; puis avec la très attendue berline Giulia.
S’il existait un Panthéon de l’automobile, Aston Martin en ferait assurément partie. Cette marque mythique (c’est le mot juste) est à l’Angleterre ce que Ferrari est à l’Italie : c’est tout dire. Le chroniqueur automobile Philippe Laguë est un amoureux des Aston Martin depuis l’enfance, notamment grâce à un certain James Bond; il a même visité les usines de Newport-Pagnell et Gaydon, en plus de faire l’essai, récemment, de la nouvelle DB11. Dans ce podcast, il raconte les hauts et les bas de la longue histoire de ce constructeur plus que centenaire.
Présentée l’année dernière, la DB11 remplace la DB9, dont la carrière a tout de même duré une douzaine d’années. Entre les deux, il y a bien eu une DB10 mais un seul client a eu le privilège de la conduire et pas n’importe lequel : James Bond. L’agent le moins secret de la planète est indissociable de la marque britannique depuis Goldfinger (1964), troisième volet de la plus longue franchise du cinéma (24 films). On a pu voir la DB10 dans Spectre, le dernier en date de la série (sorti en 2015).
Pour la première fois, un véhicule portant l’écusson Jeep est construit en sol européen – en Italie, plus précisément. Même si ses formes et sa calandre laissent croire qu’il s’agit d’un Jeep, le Renegade partage plate-forme et mécanique avec la Fiat 500X, version multisegment de la célèbre petite voiture italienne. Est-ce vraiment un Jeep ou le clone d’une Fiat? La réponse dans ce podcast, avec Philippe Laguë et François Prud’Homme.
Choisir les 15 plus belles voitures est un exercice aussi ingrat que fastidieux. Ingrat, parce qu’il s’agit d’une démarche fortement teintée de subjectivité, qui ne peut que faire des mécontents; et fastidieuse parce que l’automobile existe depuis plus de 100 ans. Pour simplifier les choses, nous avons choisi de restreindre l’échantillonnage aux voitures produites dans la seconde moitié du XXe siècle, avec un seul modèle par constructeur.
Subaru a été le premier constructeur à proposer un amalgame de voiture et de VUS avec l’Outback, en 1995. La recette était fort simple : prendre une Legacy familiale, la déguiser en aventurière et augmenter la garde au sol. Depuis, le concept a fait école et l’Outback n’est plus seule dans son segment. Est-elle toujours aussi pertinente? La réponse dans ce podcast avec les chroniqueurs automobiles Philippe Laguë et François Prud’Homme, pour lesquels ce modèle n’a plus de secret.
Anachronique, la Formule 1? En cette ère de rectitude politique, nappée de préoccupations environnementales grandissantes, la question se pose plus que jamais. Outre la pollution sonore et atmosphérique qu’elle engendre, celle qu’on appelle la discipline-reine du sport automobile était, jusqu’en janvier dernier, une oligarchie dirigée par un promoteur-dictateur octogénaire; celui-ci distribuait ses Grands Prix comme des bonbons à des monarques et autres autocrates qui dirigent d’une main de fer leur pays (Abou Dhabi, Azerbaïdjan, Bahreïn, Chine, Russie…) au détriment de l’Europe occidentale, berceau historique de la Formule 1.
Après avoir ravi ses fans en montant sur le podium à son premier Grand Prix au circuit qui porte désormais le nom de son père, Jacques Villeneuve connaît ensuite des fortunes diverses. Après la fin de la triste aventure BAR, il se retrouve sans volant, pour finalement revenir chez Sauber, qui deviendra brièvement l’écurie officielle de BMW.
Le Mans est une ville d’environ 150 000 habitants, située dans le département de la Sarthe, dans l’ouest de la France. Elle est aussi le centre de la planète automobile pendant trois jours en juin, généralement la 24e semaine de l’année - on est concept ou on ne l’est pas - et ce, depuis 1923. Officiellement, il n’existe pas de Triple couronne en sport automobile mais officieusement, l’épreuve des 24 Heures du Mans en fait partie, avec les 500 Milles d’Indianapolis et le Grand Prix de Monaco. À ce jour, le Britannique Graham Hill demeure le seul à avoir remporté les trois courses.
Concurrente avouée de la Toyota Prius, la Ford C-MAX a été bien accueillie lors de son lancement, il y a cinq ans. Encore aujourd’hui, des publications crédibles comme Protégez-vous et Consumer Reports la recommandent. Et pourtant, les ventes ne lèvent pas. Philippe Laguë et François Prud’Homme analysent cette voiture hybride qui gagne à être connue.
En 1996, l’improbable se produit : Jacques Villeneuve, le fils de Gilles, accède à son tour à la Formule 1. Les Québécois, qui n’ont jamais délaissé la F1, reviennent cependant en plus grand nombre que jamais au circuit Gilles-Villeneuve pour encourager leur nouveau favori. Le chroniqueur automobile Philippe Laguë nous rappelle les temps fort de cette période.
Côtoyer pendant quelques jours les Hamilton, Vettel, Verstappen et autres stars de la F1 est un privilège. Au cours des 25 dernières années, j’ai eu cet immense privilège à plusieurs reprises. Ma plus grande satisfaction demeure toutefois de le partager avec vous : par écrit, à la radio ou à la télévision. Juste pour vous, voici quelques photos prises à la sauvette au cours de ce week-end. Enjoy!
La saison 1982 est porteuse d’espoir pour Gilles Villeneuve : la Ferrari 126 C2 est une voiture bien née et le pilote québécois ne vise rien de moins que le titre. Le destin en décide autrement : Villeneuve trouve la mort pendant les qualifications du Grand Prix de Belgique, 5e épreuve de la saison. Le chroniqueur automobile Philippe Laguë raconte cette période qu’on pourrait appeler « l’entre-deux Villeneuve », de la mort de Gilles à l’arrivée de son fils Jacques.
Mythiques par leur histoire et leur ancienneté, par les exploits qui s’y sont déroulés, par les drames et les tragédies dont ils ont été le théâtre, ces dix circuits méritent leur place au Panthéon de la F1.
Après Mont-Tremblant, c’est au tour du circuit de Mosport d’être abandonné par la F1, pour des raisons de sécurité. Le Grand Prix du Canada revient au Québec, à Montréal cette fois. Un déménagement qui coïncide avec la première saison de Gilles Villeneuve en F1. Le chroniqueur automobile Philippe Laguë revient sur cette période-charnière du sport automobile canadien.
Après quatre années d’alternance, la F1 opte finalement pour le circuit de Mosport. Le Grand Prix du Canada y est disputé jusqu’en 1977. Le chroniqueur automobile Philippe Laguë revient sur les moments forts des « années Mosport », qui se terminent sur une note historique.
Il n’y a pas que Montréal qui célèbre un anniversaire important en 2017 : le Grand Prix du Canada a 50 ans cette année. Les connaisseurs ne manqueront pas de souligner qu’il y a 40 ans, le légendaire Gilles Villeneuve disputait ses premières courses de F1 : avec McLaren d’abord, puis avec Ferrari. Dans le premier d’une série d’articles sur la F1 au Canada, le chroniqueur automobile Philippe Laguë nous raconte les faits marquants des premières années du Grand Prix.
Le championnat du monde de Formule 1 existe depuis 1950 mais il s’agissait, à l’origine, d’un championnat réservé aux pilotes. Le championnat des constructeurs n’a été instauré qu’en 1958. Depuis cette date, la F1 a officiellement deux championnats. Les historiens préciseront toutefois que le véritable championnat des constructeurs automobiles avait pour théâtre les épreuves d’endurance et portait le nom de championnat du monde des voitures de sport (également connu sous les appellations championnat du monde des marques et championnat du monde d’endurance). L’arrivée des grands constructeurs automobiles en F1, au tournant du XXIe siècle, a cependant rebrassé les cartes.
Comment faire une liste des meilleurs pilotes sans être subjectif? En se basant uniquement sur les statistiques. Celles-ci ne disent cependant pas tout : des champions comme Alberto Ascari, Jim Clark et Gilles Villeneuve feraient sûrement partie de ce Top 10 si le destin n’avait pas brutalement interrompu leur carrière. Et comme dans les autres sports, les époques diffèrent. Depuis la création du championnat du monde de F1, en 1950, le nombre de Grands Prix par saison a augmenté et les pilotes sont devenus de véritables athlètes. Si le débat est ouvert, voyons d’abord ce que disent les chiffres.
Dans la vaste catégorie des compactes, aucune n’est aussi polyvalente que la Volkswagen Golf. Deux ou quatre roues motrices, berline ou familiale, sportive, utilitaire… Ses multiples déclinaisons lui permettent de ratisser très large. Dans ce podcast, Philippe Laguë et François Prud’Homme nous parlent des Golf « sauce douce, épicée et très épicée ».
Les constructeurs japonais étaient attendus au tournant lorsqu’ils ont créé leurs marques de luxe à la fin des années 80. Près de 30 ans plus tard, Honda, Nissan et Toyota ont gagné leur pari : Acura, Infiniti et Lexus font partie intégrante du paysage automobile. C’est maintenant au tour du géant coréen Hyundai de plonger avec Genesis, sa nouvelle division de prestige. Dans ce podcast, le chroniqueur automobile Philippe Laguë nous dit que le résultat est convaincant. Les sceptiques seront, encore une fois, confondus…
Il y a 35 ans, le 8 mai 1982, s’arrêtait brutalement la trajectoire de Gilles Villeneuve, sur le circuit de Zolder, en Belgique. Le chroniqueur automobile avait 18 ans à l’époque et il nous raconte comment il a vécu cette journée, tout en nous rappelant le contexte dans lequel est survenu ce tragique accident. L’entrevue, en deux parties, a été diffusée à l’émission Bonsoir les sportifs (98,5 FM), animée par Jérémie Rainville.
